« Le secteur des transports représente plus de 30 % de la consommation d’énergie en France, avec une forte dépendance des transports aux énergies fossiles. Il est aussi le principal émetteur de CO2, avec plus de 30 % des émissions totales de gaz à effets de serre – GES (dont 94 % provenant du transport routier, en 2016). Le transport routier est également un fort émetteur de polluants dans l’air (particules et oxydes d’azote). » – Ademe
Impacts environnementaux, quelles conséquences ?
sur l’air
Les véhicules thermiques ont été une révolution qui à complétement bouleversé le 20 ième siècle, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, un moyen de se déplacer peu cher, endurant et extrêmement rapide était mit à disposition de tous. Vacances à la plage, déménagement en zone périphérique à la recherche d’un pavillon, emploi dans des villes distantes. La voiture est une révolution.
Mais sa prolifération va avoir un certain nombre d’effets néfastes, à commencer par une menace invisible quoique omniprésente, la pollution de l’air. On estime que 40 000 personnes décèdent chaque année de la pollution de l’air selon santé publique france https://www.santepubliquefrance.fr les études étant encore réduites, et les nombres complexes à obtenir de manière précises.
sur l’eau
Il n’y a cependant pas que l’air qui est impacté par les déplacements modernes. L’eau, base de notre survie, de nos civilisations, est aussi la base du commerce inter-continentale. Et le boom des véhicules thermiques, associé à leur carburant, le pétrole, ont fait des ravages, aussi bien dans les océans qui sont désormais pollués, que dans les cours d’eau et les nappes phréatiques.
Les choix politiques autour du déplacement
Un extrait musical avant de rentrer dans le vif du sujet :
Nino Ferrer – la maison près de la Fontaine (1972)
Assumer les choix d’hier
Nous l’avons vu, le développement des véhicules thermique à certes permis une mobilité inédite des populations, permettant toujours d’avantage de déplacement, mais également de grands couts environnementaux. Ce n’est pas en fermant les yeux face à ce défi du 21ème siècle que notre civilisation s’en sortira. Ni d’ailleurs par un report effrénée sur les véhicules électriques.
Répondre aux défis d’aujourd’hui
En effet, c’est en revoyant nos modes de consommation, production, et transport que nous pourrons espérer continuer à nous déplacer facilement sans mettre en péril la planète. Avant tout, c’est un choix politique qui déterminera les grandes questions que sont notre mobilité, notre santés et notre approvisionnement énergétique
L’Ademe, une agence sur la sellette. Parmi les exemple qui vont dans le mauvais sens, les annonces de coupe budgétaire dans différents organismes d’informations et d’études sur les pollutions et la qualité de l’air interroge. Nos gouvernants réalisent ils le travail accomplie par ces organismes ou bien surfent ils sur un populisme heureux de voir l’état déléguer ses missions régaliennes au secteur privé ?